| | | Si ce message ne s'affiche pas correctement, consultez la version en ligne ici | | | | | Il y a des anniversaires qu’on n’aime pas célébrer chez foodwatch : l’entrée en application « provisoire » du CETA dans l’Union européenne il y a 5 ans en fait partie. | | | | Où en est-on aujourd'hui? La mobilisation citoyenne ces dernières années contre cet accord de commerce entre l’Union européenne (UE) et le Canada a permis de bloquer une partie du texte. Bien sûr, les défenseurs du commerce à tout prix et les multinationales ont cherché à contourner le problème, et ont obtenu une entrée en application dite « provisoire » du reste de l’accord.
Pourtant, les risques de ces accords de libre-échange sont clairs et 1 000 fois documentés ! Ces accords donnent encore plus de pouvoir aux multinationales et menacent tout ce qui est considéré comme un « obstacle au commerce », même les règles qui encadrent notre alimentation (OGM, pesticides, etc.), ainsi que la protection de notre santé et de l’environnement.
Alors non, nous n’allons pas laisser passer ! Nous comptons bien continuer à exposer publiquement ce qui se cache derrière ces accords et agir pour les stopper. Vous voulez bien nous y aider ? | | | | Il est encore temps de stopper le CETA Pour entrer en application complète et non plus « provisoire », le CETA doit être ratifié par tous les Etats européens.
C’est là que nous pouvons encore, en France, stopper le CETA, car le débat démocratique a pour le moment été bloqué : alors que le gouvernement a confisqué ce débat il y a 3 ans avec un vote au pas de course à l’Assemblée nationale, le vote au Sénat n’est toujours pas programmé et nos demandes d’organiser un référendum sont ignorées !
Aidez-nous à faire du bruit pour exiger un vrai débat en France sur le CETA et ses dangers, et bloquer sa ratification. | | | | Chaque fois que possible, je suis intervenue pour décrypter cet accord, ses conséquences, et tous les mensonges qu’on vous raconte, dans une vidéo et des articles sur notre site internet, dans les médias, à l’Assemblée nationale, mais le débat est étouffé. Ensemble, donnons un second souffle à nos revendications !
Mobilisons-nous contre la mainmise des multinationales sur notre santé, nos droits sociaux et l’environnement. Stoppons ces accords et changeons la politique commerciale européenne qui impacte les citoyennes et citoyens au quotidien. | | | | Grâce à vous, notre association 100 % indépendante a les moyens d’enquêter, décrypter, informer et dénoncer les dérives du secteur alimentaire.
Merci, sincèrement, de votre engagement à nos côtés. | | | | 
Karine Jacquemart I Directrice Générale foodwatch France | | | | Le saviez-vous ? 66 % du montant de votre don est déductible de vos impôts, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable. Ainsi, un don mensuel de 10 € par mois vous revient à 3,40 € par mois, soit 40,80 € sur toute une année après déduction. Quand ils sont mensuels, vos dons nous permettent en plus de mieux prévoir nos actions. | | |